Roland Delcol

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Distinctions

Ajouté le 2 août 2011

Distinctions

1971 Grande Médaille d’argent du Gouvenement
1972 Prix de Peinture de la Commune de Saint-Gilles
Nominé au Prix Bollinger
1973 Distinction au Prix de la Jeune Peinture belge
2001 1er Award à la “Hunger Artist Gallery” – Albuquerque
2002 Award au “International Museum of Art” – El Paso
2003 Award au “Northern californian Arts Inc.

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FRED ZELLER

Ajouté le 2 août 2011

"J'ai pris connaissance avec intérêt du livre de Louis Scutenaire sur la peinture que je connais déjà par une de nos amies. J'apprécie ton art, ton humour et la perfection du dessin qui fait tant défaut de nos jours. Les peintres d'aujourd'hui ne savent plus dessiner mais veulent tous, après deux ou trois ans de coloriages entrer au musée du Louvre"

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De Verbodene blick

Ajouté le 2 août 2011

Museum Kunt Palast
p 184

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Axel Hinrich Murken :"Phantastische Welten"

Ajouté le 2 août 2011

Vom Surrealismus zum Neosymbolismus.
Couverture et pp 107 > 109 & 123

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Irène, Scut, Magritte & Co

Ajouté le 2 août 2011

Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique - 1996

560 pp.
pp 216 >219, 509 & 516 > 519

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Hyperréalisme

Ajouté le 2 août 2011

Editions Brachot - Bruxelles 1973
pp. 69 > 70

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Maroc Premiun - janvier 2010

Ajouté le 2 août 2011

Roland Delcol est né à Bruxelles en 1942. Après de brillantes études, entre autres à l'université libre de Bruxelles, il effectue des études de lithographie à Milan et à Paris, puis des stages de faïence et de porcelaine à Florence.
C'est après un voyage à Grenade et à Marrakesh qu'il découvre la beauté de l'archiitecture arabo-andalouse avec ses arts décoratifs et surtout ses zéliges.
Il décide alors d'acquérir une résidence sur la côte atlantique non loin d'Al Jedida.
Delcol développe depuis les années soixante une recherche picturale hyperréaliste focalisée de bout en bout par la nudité féminine. Il place à chaque fois ses nus dans des situations insolites, à la limite de l'absurde. Dans ses toiles, ses dessins, ses lithographies, il représente une femme installée dans une situation où on ne l'attend pas. Il dit peindre "la femme, objet réel, d'une manière irréelle". La grandeur de Delcol réside aussi dans le fait qu'il a su redonner une charge érotique très subtile à un sujet complètement usé en peinture.
Delcol parle d'infraréalisme et Flor Bex de réalisme surréalisant. Ses femmes voilées et masquées sont trans-réelles puisqu'elles transcendent les aléas et les pathétiques déchirures de notre époque. Rien d'étonnant, les maîtres de Delcol sont Giorgione, Manet, Renoir, Picasso, Magritte, Delvaux.

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FELIX LABISSE

Ajouté le 2 août 2011

"La demoiselle de Delcol est un cheveu blond dans la soupe des Tartufe(s) qui en tombent des nues. Elle a une manière très personnelle de mettre à toutes les sauces ses seins lourds, son nez en trompette et ses fesses de cycliste. Pulpeuse, ingénue, comestible, impudique, attentive, disponible, silencieuse, diligente, hygiénique, cette Fée du logis propose une rêverie permanente affranchie de toute complication érotique.Cependant, si le diable me la faisait rencontrer un soir dans la pénombre marécageuse d'une salle de billard de sous-préfecture."

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